L’épître(ries) - Juillet 2025

L’actu de mes publications, salons… et dédicaces !

Cercueil et préjugés – disponible partout !

Ça y est, Cercueil et préjugés est disponible partout ! Et il faisait même partie de la sélection Babelio du 19 juin (dix parutions récentes mises en avant chaque semaine sur la plateforme) !

Les premiers avis postés me font chaud au cœur. 😊

Où se le procurer : retrouvez toutes les informations ici.

Si vous avez lu le roman, n’hésitez pas à en parler autour de vous, poster un petit avis en ligne, et/ou m’envoyer un mail pour me dire ce que vous en avez pensé. Vous n’imaginez pas à quel point c’est important : cela influe sur la vie du livre (ou, au contraire, sa mort prématurée), mais aussi sur mes chances de publication pour mes autres romans.

Et le roman a eu droit à un petit article dans le journal Sud-Ouest du 4 juillet.

Prochaines dédicaces

• Samedi 9 août 2025 toute la journée à l’Espace Culturel Leclerc de Saint-Médard-en-Jalles,
• Samedi 4 octobre 2025 toute la journée à l’Espace Culturel Leclerc de Langon,
• Samedi 6 décembre 2025 toute la journée au magasin Cultura de Bègles.

L’anecdote du mois

Mes premières séances de dédicaces : grand moment de solitude ou échanges animés ?

Ces deux derniers samedis, j’ai effectué mes premières séances de dédicaces, seule en magasin avec mon roman, dans deux des enseignes Cultura de la métropole bordelaise.

C’est peu de dire que j’appréhendais (je suis à l’aise à l’écrit, hein, pas à l’oral).

Alors, comment cela s’est-il passé ?

Eh bien je crois que si la séance du 5 juillet n’avait pas déjà été planifiée, je n’aurais plus contacté aucune enseigne après ma séance du 28 juin. Quatre heures toute seule à une table, le stress au ventre, à regarder passer les gens, sourire et dire bonjour à ceux qui choisissaient de croiser mon regard, laisser tranquilles ceux qui prenaient soin de l’éviter, je vous assure que c’est très long – surtout quand une grande majorité d’entre eux fait partie de la seconde catégorie.

Alors, j’ai pu tout de même discuter avec quelques personnes, et j’étais ravie d’échanger avec elles – qu’elles repartent avec ou sans le livre, d’ailleurs. Mais clairement, la fréquentation du magasin n’était pas au top, et parcourir 60 kilomètres aller-retour pour compter les mouches pendant quatre heures et toucher au final environ deux euros de droits d’auteurs sur les ventes… ce n’est pas exactement ma conception d’un week-end épanouissant.

Mention spéciale tout de même au monsieur qui est passé devant ma table, s’est arrêté, a regardé la couverture, s’est approché, a tapoté le livre du bout de l’index, et a affirmé d’un ton très sûr de lui : “Ooooh, je flaire le polar.” Quand je lui ai affirmé gentiment que “non, pas vraiment”, il n’a pas eu l’air très convaincu, alors il a empoigné le roman pour lire la quatrième de couverture, puis il l’a reposé en convenant que “ah, en effet, pas vraiment”. De mon côté, je dois admettre avoir beaucoup ri de la séquence a posteriori. 🤭

Heureusement, ma seconde séance, ce samedi 5 juillet, s’est avérée moins solitaire. Il y avait davantage de monde dans le magasin, et donc plus de personnes curieuses de s’arrêter pour discuter. Je pense qu’à choisir, je préfère tout de même les salons, dans lesquels les personnes viennent explicitement pour rencontrer les auteurices. Malgré tout, pour une grande timide comme moi, l’expérience n’a pas été aussi traumatisante que j’aurais pu le craindre (même si, les deux fois, je suis rentrée épuisée, à cause d’une tension nerveuse tout à fait déraisonnable). Et j’ai vraiment beaucoup apprécié échanger avec les personnes qui ont pris le temps de s’arrêter pour papoter : un immense merci à elles !

Mon journal de bord d’écriture

Breizh, son et sentiments

J’ai terminé le premier jet. Je vais avoir beaucoup de travail de corrections à effectuer dessus avant de pouvoir le soumettre, car je ne suis pas du tout satisfaite de ce que j’ai écrit… Mais pour le moment, je le laisse reposer un peu, le temps de tourner et retourner les choses dans ma tête pour trouver sous quel angle le reprendre.

Un mensonge sans conséquence

Toujours pas de nouveau retour du côté de mon agente.

45,93 grammes

Pas de retour à ce jour sur ce projet. Je ne sais pas si je finirai par en recevoir un, l’éditrice semble avoir déserté le forum où elle avait lancé son appel en avril.

Chasseuse de rêves

Sans surprise, mon roman ne fait pas partie des finalistes du Prix Rébellion. Mais j’ai pu obtenir un petit retour de la part des organisatrices. Le voici, en toute transparence :

Malgré une écriture maîtrisée, votre roman nous a semblé rester dans une veine assez classique, sans réussir à se démarquer suffisamment des autres propositions reçues. L’intrigue, bien que structurée, ne nous a pas véritablement embarqués, et nous n’avons pas ressenti l’élan nécessaire pour le retenir dans le cadre de cette sélection.

J’en retiens que le texte manque d’originalité, mais qu’il n’est a priori pas mauvais en soi. Du moins, c’est mon interprétation. Ce qui m’encourage à tenter de nouvelles soumissions, après une passe de corrections sur la forme de la partie que je n’avais pas pris le temps de retoucher avant le prix (pour lequel il ne fallait envoyer que les trente premières pages, et un synopsis).

(Bonne) nouvelle !

J’ai reçu une belle surprise ce mois-ci, et signé un contrat pour une de mes nouvelles soumises début 2024 ! Je suis vraiment ravie, car mon texte va rejoindre un très beau catalogue, d’une maison d’édition que j’affectionne beaucoup. J’ai hâte de vous en dire davantage. 😊

Quoi de neuf sur le blog ?

Rien de nouveau ce mois-ci.