L’épître(ries) - Août 2025

L’actu de mes publications, salons… et dédicaces !

Prochaines dédicaces

• Samedi 9 août 2025 toute la journée à l’Espace Culturel Leclerc de Saint-Médard-en-Jalles,
• Samedi 4 octobre 2025 toute la journée à l’Espace Culturel Leclerc de Langon,
• Samedi 6 décembre 2025 toute la journée au magasin Cultura de Bègles.

Cercueil et préjugés – la presse en parle

Cercueil et préjugés a eu droit à un nouvel article de presse ce premier août dans le Courrier de Gironde, ainsi qu’à une lecture du premier chapitre sur Radio Bouton dans une émission spéciale “lectures de vacances” le 27 juillet. Quant à moi, j’ai été interviewée dans la matinale d’Ici Gironde le 21 juillet pour parler du roman.

Si cela vous intéresse, vous pouvez retrouver tous les articles et extraits audio sur mon site, en suivant ce lien.

Où se le procurer : retrouvez toutes les informations ici.

Si vous avez lu le roman, n’hésitez pas à en parler autour de vous, poster un petit avis en ligne, et/ou m’envoyer un mail pour me dire ce que vous en avez pensé. Vous n’imaginez pas à quel point c’est important : cela influe sur la vie du livre (ou, au contraire, sa mort prématurée), mais aussi sur mes chances de publication pour mes autres romans.

L’anecdote du mois

Je suis un moulin à vent

Cela fait désormais plus d’un mois que Cercueil et préjugés est sorti et les retours que je reçois ou vois passer sur les réseaux sociaux sont globalement plutôt enthousiastes, ce qui me fait chaud au cœur.

En revanche, en toute franchise, ce qui me plombe le moral, c’est que d’après les premiers signaux que je surveille, le roman ne se vend pas. Alors je me démène autant que possible pour faire parler de lui, mais j’ai l’impression surtout de brasser beaucoup de vent pour rien. Vous ne pouvez pas imaginer le nombre de journalistes et de libraires que j’ai contactés pour essayer d’obtenir un petit article ou une séance de dédicaces. La plupart ne répondent même pas. (Énorme cœur sur celles qui ont pris la peine de me répondre, de m’accueillir en rayon, d’écrire un article, de me tendre un micro, ou de lire un extrait à l’antenne, notamment Nadia Derbikh, Marie Ottoz, Morgane. ❤️)

C’est l’été, me direz-vous. Des tas de gens sont en vacances.

Certes.

Mais je doute d’avoir beaucoup plus de succès si je relance à la rentrée.

Et puis il ne faut pas se comparer, dit-on.

Sauf que je suis humaine, hein. Et que ce roman, c’est mon bébé, j’ai donc envie qu’il trouve son lectorat. Imaginez quand votre enfant quitte la maison, vous avez envie que les choses se passent bien pour lui, non ? Bah, un roman, on y met tellement de nous-même que c’est un peu pareil. Quand il quitte le nid, on a envie que le monde l’accueille comme on pense qu’il le mérite. (Je ne dis pas que mon roman mérite de devenir un best-seller, mais j’aimerais bien qu’il atteigne au moins la moyenne des ventes de romans en France, soit environ 300 exemplaires : ça ne me semble pas délirant, comme objectif. Surtout que quand il est lu, il est plutôt apprécié, notamment par les personnes qui aiment le feel good.)

Bref, il ne faut pas le faire, mais je compare le démarrage des ventes de mon roman à celui des ventes des autres romans de la même collection publiés par ma maison d’édition le même mois que le mien.

Et là, vraiment, je ne comprends pas. Parce que, clairement, je me rends compte que le mien sous-performe terriblement par rapport aux autres. Et les autrices de ces autres romans n’ont même pas de communauté beaucoup plus importante que la mienne sur les réseaux sociaux, par exemple, ce qui aurait pu expliquer un tel écart. Je ne peux donc que me noyer dans un abîme de perplexité.

Bref, voilà. Depuis le début de l’été, j’ai l’impression d’être un moulin à vent…

Je crois qu’il est temps pour moi de tourner la page et de me replonger dans l’écriture. Parce que les faits viennent le confirmer une fois de plus : le marketing et la communication, ce n’est vraiment pas mon truc.

Mon journal de bord d’écriture

E comme…

Je ne sais pas si vous vous en souvenez, l’été dernier, j’ai écrit un roman Young Adult ultra court pour un concours organisé par les éditions Nathan pour leur collection Court Toujours.

J’aimais vraiment beaucoup ce texte, et après relecture un an plus tard, je l’aime toujours autant. C’est rare : en général, après avoir laissé passer autant de temps, je ne vois plus que les défauts dans ce que j’ai écrit.

Alors je l’ai repris, fait bêta-lire par trois nouvelles personnes, corrigé, peaufiné. Et ce week-end, j’ai commencé à le soumettre en maisons d’édition.

Son échec au concours l’an dernier a été très douloureux. Les refus à venir risquent de l’être au moins autant quand ils commenceront à tomber. Mais tant pis : j’ai envie de lui donner sa chance quand même. Ne reste plus qu’à espérer qu’il parviendra à émouvoir un·e éditeurice quelque part. Croisez les doigts pour lui et pour moi, si vous le voulez bien. 🙏

Des appels à textes

J’aimerais participer à deux appels à textes avant de m’attaquer aux corrections de mon dernier roman.

Épopées aquatiques, celui de la super équipe du non moins super salon Imagina’livres, à Toulouse, pour leur anthologie annuelle. Parce qu’après trois sélections les trois dernières années, j’ai bien envie de réitérer l’expérience et de retourner au salon cette année.

Femmes de pouvoir, celui de l’association ImaJn’ère, parce que j’ai plusieurs copines d’écriture qui ont déjà eu l’honneur d’être sélectionnées dans leurs précédentes anthologies, et que c’est une publication qui vaut vraiment le coup. Et puis le thème est excellent, ce qui ne gâche rien. 😊

Donc en août, j’écris des nouvelles ! En tout cas, j’essaie.

Breizh, son et sentiments

Il continue à se reposer. Jusqu’à l’automne, sans doute.

Un mensonge sans conséquence

Rien de nouveau.

45,93 grammes

Rien de nouveau.

Chasseuse de rêves

Rien de nouveau. Le roman est reparti dans mon tiroir en attendant que je trouve l’énergie de le dépoussiérer et de lui donner un bon coup de polish pour reprendre les soumissions.

Quoi de neuf sur le blog ?

Rien de nouveau ce mois-ci.